Sénatoriales : UNIR à la rencontre des leaders communautaires du Grand-Lomé

Une délégation du parti Union pour la République (UNIR) a organisé ce lundi 10 février une séance de sensibilisation avec les leaders communautaires des 13 communes du Grand-Lomé, dans le cadre des élections sénatoriales prévues le 15 février 2025.
La délégation, menée par la Vice-présidente en charge du Grand-Lomé, Mme Ibrahima Mémounatou, comptait plusieurs personnalités de premier plan, dont les cadres du partis, Pascal Bodjona, Gilbert Bawara, Kanka-Malik Natchaba et Kayi Mivedor. Plusieurs députés étaient également présents, parmi lesquels Wona Germain, Raymonde Kayi Lawson, Adanlété Akoelé et Myriam Dossou d’Almeida.
Cette rencontre stratégique a réuni les chefs traditionnels, les responsables des Comités Cantonaux de Développement (CCD), des Comités Villageois de Développement (CVD), des Comités de Développement des Quartiers (CDQ) ainsi que les leaders religieux. « Nous avons davantage expliqué la 5ème République et toutes les implications notamment le sénat… Le message est bien passé. Nous avons répondu aux préoccupations des citoyens », a déclaré Mme Ibrahima Mémounatou à l’issue des échanges.
Le ministre Gilbert Bawara a mis en lumière l’un des objectifs fondamentaux de la nouvelle constitution : favoriser l’émergence de partis politiques à caractère national. « Cette réforme va dans le sens de l’unité et de la cohésion », a-t-il souligné, insistant sur l’importance d’une représentation politique inclusive.
Pour sa part, le ministre Kanka-Malik Natchaba a insisté sur la dimension historique du scrutin : « Cette élection va venir consolider l’installation de la 5ème République avec l’Assemblée nationale qui est déjà là. Ces deux institutions qui formeront le Parlement auront ensuite la lourde responsabilité d’élire le Président de la République. »
UNIR, qui ambitionne de remporter les quatre sièges de sénateurs dans le Grand-Lomé, poursuit sa campagne de sensibilisation dans les treize communes de l’agglomération. Cette tournée s’inscrit dans une stratégie plus large visant à expliquer aux populations les enjeux de ces élections sénatoriales et leur importance dans le nouveau paysage institutionnel togolais.